• Résidences Funéraires Jodoin & Lalime

    Messages de sympathie pour Monique (VIENS) GLADU

  • Lise Barsalou Savaria

    30 mai 2018

    Mes plus sincères sympathies à toute la Famille spécialement à Maurice mon ancien élève.

  • Olivier

    30 mai 2018

    Ma belle mamie. Quelle belle photo pour illustrer ta joie de vivre, ton désir de voyager ainsi que ta beauté. Tu vas me manquer énormément. Tu es la femme de ma vie. Tu auras, à ta façon,marquer ma vie par ta façon d'être, ton amour,ton encadrement, ton écoute, ta rationnalité ainsi que ton empathie. Je suis tellement triste de te perdre aussi jeune. Je pense à toi. Toute ma vie tu resteras dans mon coeur et dans mes pensées.

  • Anne-Marie Viens

    31 mai 2018

    mes condoléances mes pensées sont avec vous

  • Lucie Gallant

    31 mai 2018

    Sympathie à toute la famille je vous envoie tout plein de pensées positives. Xxx

  • gaston bedard

    31 mai 2018

    nos plus sinceres condoleances maurice ainsi qu' a toute la famille. denise et gaston bedard

  • Sylvie Gladu

    31 mai 2018

    «Il n’y a de repos que dans l’amour » (Saint-Augustin). Je viens simplement vous témoigner mes plus profondes sympathies. Son départ si vite m’attriste. Je crois qu’elle est passée vers la lumière et pour paraphraser Saint Paul : le christ l’illumine. Je joins un poème et une prière. Mes amitiés. Sylvie Gladu Les yeux René-François Sully Prudhomme (1839-1907) poète français, premier lauréat du prix Nobel de littérature en 1901. Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Des yeux sans nombre ont vu l'aurore ; Ils dorment au fond des tombeaux Et le soleil se lève encore. Les nuits plus douces que les jours Ont enchanté des yeux sans nombre ; Les étoiles brillent toujours Et les yeux se sont remplis d'ombre. Oh ! qu'ils aient perdu le regard, Non, non, cela n'est pas possible ! Ils se sont tournés quelque part Vers ce qu'on nomme l'invisible ; Et comme les astres penchants, Nous quittent, mais au ciel demeurent, Les prunelles ont leurs couchants, Mais il n'est pas vrai qu'elles meurent : Bleus ou noirs, tous aimés, tous beaux, Ouverts à quelque immense aurore, De l'autre côté des tombeaux Les yeux qu'on ferme voient encore. Voici la Prière « Ce qui se passera de l’autre côté » de Mère Alice-Aimée Marin (1896-1976), Carmélite d'origine franco-américaine :« Ce qui se passera de l’autre côté, quand tout pour moi aura basculé dans l’éternité, je ne le sais pas. Je crois, je crois seulement, qu’un Amour m’attend. Je sais pourtant qu’alors il me faudra faire, pauvre et sans poids, le bilan de moi. Mais ne pensez pas que je désespère. Je crois, je crois tellement qu’un Amour m’attend. Quand je meurs, ne pleurez pas ; c’est un Amour qui me prend. Si j’ai peur – et pourquoi pas ? Rappelez-moi simplement qu’un Amour, un Amour m’attend. Il va m’ouvrir tout entière à sa joie, à sa lumière. Oui, Père, je viens à Toi dans le vent, dont on ne sait ni d’où il vient ni où il va, vers Ton Amour, Ton Amour qui m’attend. Amen. »

  • Doris Plourde

    1 juin 2018

    Je suis de tout coeur avec vous mes pensée seront la pour vous

    Je vous dit toute mes Sympathie à la Famille